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Être ou ne pas être... remplacé(e)

                On a le droit d'être malade, fatigué(e), d'avoir la jambe cassée parce qu'on a glissé sur le trottoir en accompagnant ses élèves à la patinoire (si, si j'en connais une qui...),  avoir des enfants qui font leur dents en même temps que la gastro parce que soit-même en bon enseignant on est malade uniquement pendant les vacances scolaires ...
               Enfin bref, il peut arriver qu'on soit absent(e) une ou deux fois l'an. Le soucis c'est: sera -t-on ou non remplacé(e)? Et si on l'est, comment faciliter le travail de  quelqu'un qui voudra bien s'impliquer dans une organisation pas toujours classique?
               Les collègues remplaçants sont supers et font beaucoup, parfois au pied levé. Pour leur faciliter la tâche,
j'ai vu de part et d'autre du net ainsi que dans les archives de maman PE retraitée (et oui c'est de famille!), des cahiers ou classeur du remplaçant qui ressemblent à ceux que je fais depuis un bout de temps. Çà rassure de voir que la communauté d'idées existe.
    Mon cahier est une sorte de compromis entre le document informatif basique et le guide-pour-comprendre-comment-je-fonctionne-au-quotidien. Il est actualisé tous les ans puisque mon fonctionnement évolue. Ensuite tout dépend bien sur de la durée de l'absence. Si celle-ci est de courte durée, pas d'obligation à appliquer quoique ce soit. Si je suis au fond du lit pendant une semaine ou plus, ça peut aider et le/la remplaçant(e) ainsi que moi-même à mon retour.
Une idée de mon cahier ici.

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